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CULTURE & LOISIRS

Découvrir L'Hôpital

L’Hôpital est une commune française du département de la Moselle, en région Grand Est.

 

Située en Lorraine, elle est localisée le long de la frontière allemande et à proximité du Luxembourg. Elle fait partie du bassin de vie de la Moselle-Est, ainsi que de l’ancienne région minière du bassin houiller lorrain.

 

Ses habitants sont appelés les Spittellois et les Spittelloises.

 

L’Hôpital en quelques chiffres :

 

Population : 5 239 habitants (à compter du 1er janvier 2024)

Superficie : 4 km²

Altitude : mini 220 m, maxi 297 m au niveau du château d’eau

Économie locale : 84 commerçants, artisans et professions libérales

Tissu associatif : 59 associations engagées

 

L’Hôpital, c’est également plus de 800 ans d’histoire !

 

Plus de détails : L’Hôpital au fil du temps

Les premiers pas

Si l’occupation permanente n’y est attestée qu’à partir du Xlle siècle, L’Hôpital semble apparaître dans l’histoire bien plus tôt.

 

Des découvertes archéologiques font penser à une présence humaine à l’époque gallo-romaine, soit dès les IIIe et IVe siècles de notre ère.

 

Le nom de L’Hôpital vient de la présence d’un hôpital au Moyen Âge. Il s’agirait d’un hospice charitable pour voyageurs, puis d’une léproserie destinée à L’Hôpital et sa région. C’est l’un des plus « anciens » de la contrée.

 

La lecture des noms successifs du hameau devenu village puis ville l’atteste, puisque le terme « spiettal » et les déclinaisons suivantes signifient « hôpital » :

  • Merle (1179)
  • Merla im Varand (1210)
  • Spiettal in dem Warendt (1361)
  • Hospitali (1400)
  • Merlen by dem Spidal (début du XVe siècle)
  • Zum Spitel (1592)
  • Zum Spidal (1594)
  • L’Hôpital, Spiedal (1779)
  • L’Hôpital (1869)
  • Spittel [in Lothringen] (1871)
  • L’Hôpital [en Lorraine] (1918)
  • L’Hôpital (1939)
  • Spittel [Westmark] (1940)
  • L’Hôpital (1944).
Du village à la ville

Longtemps, la vie des habitants de L’Hôpital est restée intimement liée à celle de leur environnement géographique.

 

Les activités, essentiellement agricoles et forestières, se concentrent notamment autour de la forêt du Warndt. Le commerce, lié aux routes et aux échanges entre Comté (puis Principauté) de Nassau-Sarrebruck et Duché de Lorraine, s’y développe. L’Hôpital est également une étape sur la grande voie de circulation entre les villes de Metz et de Francfort.

 

Avant la véritable ère charbonnière, l’industrie s’était déjà implantée à L’Hôpital et avait commencé à modifier la physionomie de toute la région.

 

Ainsi, dès le milieu du XVIIIe siècle, la famille De Wendel construisit à L’Hôpital un haut fourneau et une forge, ainsi qu’une platinerie. Plus tard, ces mêmes bâtiments, situés près de l’ancienne gare ferroviaire, furent utilisés à la fabrication de vinaigre.

 

L’artisanat à domicile, surtout l’hiver, procure quelques ressources supplémentaires aux agriculteurs de la commune : on fabrique et on vend des tabatières ainsi que des balais, réalisés avec le bois issu des forêts locales.

 

L’Hôpital, cité industrielle

Avec l’exploitation minière, L’Hôpital quitte définitivement son statut de « village agricole » pour celui de « cité industrielle ».

 

Dès 1856 et sans interruption jusqu’en 1918, les cinq puits de charbon spittellois apportèrent aux populations locale et régionale un confort économique jusqu’alors inconnu.

 

Au début du XXe siècle, en l’espace de dix ans seulement, la population municipale passait de 1 789 habitants (en 1900) à 5 742 habitants (en 1910). Il avait fallu, de 1902 à 1904, construire deux nouvelles cités ouvrières, celle du Puits 3 et celle d’Aspenhübel (l’actuel quartier Bois Richard). Par la suite, une troisième cité, dite « cité Colline », sera encore édifiée en 1946-47.

 

L’Hôpital se transforma et se modernisa. La commune était par exemple l’une des premières du canton à se doter d’un réseau d’adduction d’eau potable (1892) et d’un réseau de fourniture d’énergie électrique (début 1900).

 

Cet important développement économique et démographique de la ville fut aussi accompagné de souffrances, de larmes, de drames parfois. La catastrophe minière du Puits 2 à L’Hôpital, le 5 juillet 1876, avait ainsi fait 53 morts et plus de 50 blessés.

 

Et, aux yeux des actionnaires, les mines de L’Hôpital n’étaient pas suffisamment rentables. On rechercha alors de nouveaux filons d’or noir et on les trouva à proximité, à savoir les nouveaux puits de Merlebach, de Creutzwald et de Sainte-Fontaine. L’eau, les failles et le grisou avaient eu raison des puits spittellois, qui fermeront les uns après les autres.

 

Cependant, l’histoire commune entre les habitants de L’Hôpital et la mine n’en était qu’à ses débuts. Elle s’amplifiera et se prolongera jusqu’au début du XXIe siècle.

 

De l’annexion à la Première Guerre mondiale

L’Hôpital, en raison de sa situation géographique frontalière, a toujours été au cours de son histoire sous l’influence de deux camps, de deux royaumes, de deux États.

 

La défaite de 1870 entraîne l’annexion de l’Alsace-Moselle, et donc de L’Hôpital, par l’Empire allemand. Le nom de L’Hôpital est germanisé. Il devient Spittel. Plusieurs familles quittent la commune en abandonnant entièrement leurs biens, pour ne pas dépendre des autorités allemandes.

 

Après une période d’adaptation, l’industrie reprend son expansion, entraînant celle de la ville. Les mines de charbon de L’Hôpital passent sous le contrôle du Reich allemand.

 

Le gouvernement prussien développe un vaste programme de construction de bâtiments publics, notamment pour la mise en place de l’administration allemande et l’installation de fonctionnaires allemands. La ville se voit dotée d’une nouvelle gare, d’une nouvelle poste et d’une nouvelle école. D’importants travaux sont réalisés à l’église Saint-Nicolas, qui est agrandie. En 1913, on érigea l’église Sainte-Barbe de Bois-Richard. En 1914 est construit le casino de la mine de la cité du Puits 3.

 

L’Hôpital à l’heure de la Première Guerre mondiale

La Grande Guerre, véritable « saignée » pour l’Europe toute entière, ébranla durement notre région frontalière.

 

Le 1er août 1914, l’Allemagne entre en guerre. C’est le 3 août qu’elle déclare la guerre à la France. Conséquence immédiate : les Spittellois, comme tous les autres Mosellans, doivent se battre au sein des troupes de l’Empire allemand. Au premier jour de mobilisation, les hommes âgés de 18 à 44 ans furent ainsi incorporés. Tous les autres furent incorporés deux jours plus tard.

 

Les premiers bombardements français sur L’Hôpital débutent dans la nuit du 11 au 12 août 1914. Un avion français lâche quatre bombes, qui tombent près de la gare et le long de la voie ferrée sans faire de victimes.

 

Tous les bals, amusements, fêtes furent supprimés. La population était sévèrement rationnée. En l’absence des hommes – près de 700 étaient partis sous les drapeaux, sur une population totale d’environ 6 000 habitants en 1914 –, ce sont les femmes qui travaillent, notamment aux champs.

 

Le 11 novembre 1918, l’armistice fut signé. A cette date, les armées allemandes avaient fui L’Hôpital, contraintes à se retirer devant l’avancée des forces alliées. Le 21 novembre, les premières troupes françaises (le 6ème bataillon du 287ème régiment d’infanterie dit « Régiment du Berry ») entrent dans la ville. Le lendemain, eut lieu une grande messe solennelle réunissant les militaires et les Spittellois en l’église Saint-Nicolas.

 

Durant ce conflit, 107 soldats originaires de L’Hôpital tombèrent au front. A la suite du Traité de Versailles (1919), l’Alsace-Moselle, dont L’Hôpital, fut à nouveau rattachée à la France. Le nom de la commune passait de Spittel à celui de L’Hôpital. Les habitants furent réintégrés dans la nationalité française.

 

L’Hôpital à l’heure de la Seconde Guerre mondiale

Dans la période de l’entre-deux-guerres, le tissu urbain se densifie, à L’Hôpital et dans toute la région. Les cités minières se développent. La nouvelle Société de Sarre et Moselle, qui exploite les mines, se lance dans une grande politique de recrutement. Dès les années 20, des bataillons de mineurs étrangers, polonais et italiens surtout, s’installent à L’Hôpital.

 

Mais la guerre de nouveau, vingt ans après celle qui devait être la « Der des Ders », vient ravager les chemins de la paix et stopper cette nouvelle croissance.

 

Le 1er septembre 1939, au déclenchement des hostilités, la ville est évacuée. La population spittelloise est dirigée vers l’intérieur du pays : Pas-de-Calais, Loire, Vienne. La mairie est repliée à Lusignan, dans le département de la Vienne.

 

Cet exode durera jusqu’en juillet 1940, date à laquelle les évacués sont rapatriés par les autorités allemandes. Les Spittellois retrouvent leurs foyers, dévastés et pillés. Commence alors la vie sous l’occupation nazie, dans des conditions pour le moins précaires pendant quatre longues années.

 

Les combats pour la Libération furent durs à L’Hôpital. Les bombardements, alliés ou ennemis, de novembre et décembre 1944 firent 13 victimes civiles et détruisirent une quinzaine d’habitations. Les habitants s’abritèrent dans leur cave ou dans les abris creusés dans la forêt du Warndt. Le 5 décembre, c’est la Libération tant attendue par le XXe Corps de la 3ème Armée américaine.

 

La jeunesse spittelloise avait, encore une fois, payé un lourd tribut en vies humaines : 84 soldats ont trouvé la mort sur les divers théâtres d’opération de la Seconde Guerre mondiale, dont 72 Malgré-nous, incorporés de force dans la Wehrmacht.

 

L’Hôpital face à son avenir

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, on assiste à un essor sans précédent de l’extraction charbonnière.

 

Des opérations de requalification urbaine et la construction de nouveaux ensembles immobiliers donnent un nouveau visage à certains quartiers : Cité Colline, Petit Pont, Centre, Bois Richard (réalisation logements rue Louis Pahler).

 

Malheureusement, le début de la récession charbonnière a conduit à une remise en question de ce modèle économique régional. Si le dynamisme engendré par l’activité des industries chimiques a pu compenser un temps, L’Hôpital et sa région ont eu et ont encore la nécessité d’innover et de se tourner vers de nouveaux partenariats.

 

Aujourd’hui, L’Hôpital doit relever un nouveau défi pour son avenir. Celui de la métamorphose d’une ancienne ville minière en une cité dynamique, moderne, attractive, transfrontalière.

 

A proximité immédiate de l’Allemagne et du Luxembourg, L’Hôpital est connectée à toute l’Europe grâce à de multiples réseaux de communication, et se veut résolument un territoire d’innovation et de compétitivité.

 

Les héros locaux

Michel ORDENER, Comte de l’Empire, Sénateur (1755 – 1811)

Troisième d’une fratrie de trois garçons et deux filles, Michel ORDENER est né en 1755 à L’Hôpital, au moulin tenu par ses parents, Jean ORTNER et Eva SCHABOT.

 

Celui que les registres de naissance avaient fait naître à Saint-Avold, dont L’Hôpital était une annexe paroissiale, s’engage en 1773, à dix-sept ans, dans la cavalerie au régiment Condé-dragons, en garnison à Metz.

 

Très rapidement, ce géant de deux mètres gravit les échelons de la hiérarchie militaire. Lieutenant, notre Spittellois participe à la bataille de Valmy (1792). Capitaine en 1793, chef d’escadron en 1794, il prend part aux combats contre la Prusse et l’Autriche le long du Rhin. Général de brigade en 1803, il dispense son savoir-faire militaire au vice-roi de Naples.

 

Imprégné de l’esprit napoléonien, il part à la conquête de l’Europe. Dans une correspondance, Napoléon dira notamment de lui que « l’intrépidité d’ORDENER lui captivait l’estime de l’armée ».

 

Michel ORDENER va ensuite être mêlé à l’affaire du Duc d’Enghien, en procédant à son arrestation à Ettenheim en pays de Bade, à proximité de la frontière française

 

Général de division, ce valeureux soldat fut, à 50 ans, l’objet de toutes les décorations.

 

L’Empereur le promeut Sénateur, puis Comte de l’Empire. Il suivra l’impératrice, commandant la garde de celle-ci.

 

Michel ORDENER décède à Compiègne le 30 août 1811, dans son lit.

 

Son corps fut embaumé et inhumé au Panthéon et son nom inscrit à l’Arc de Triomphe. Sa haute taille ne put trouver une place traditionnelle dans une crypte, et c’est perpendiculairement aux autres que Michel ORDENER est inhumé.

 

Une rue de L’Hôpital porte son nom et une plaque commémorative apposée à la mairie évoque cette figure locale. Une avenue de Paris porte également son nom.

 

Alexandre LOFI, Compagnon de la Libération (1917 – 1992)

Bien que né à Dudweiler (Sarre, Allemagne) en 1917, Alexandre LOFI arrive nourrisson à L’Hôpital. Sa mère, Spittelloise, y vit le jour en 1892. La famille habita rue de la Gare, puis rue de l’École. Elle exploita ensuite un café à l’angle des rues de la Croix (actuelle rue Soeur Bourg) et de Metz, et enfin en face du Puits VI.

 

Après une scolarité à l’école primaire du Centre, « Alex » décida de s’engager dans la marine, y entrant aux pupilles, apprenti-marin, matelot, quartier-maître, maître d’équipage dès 1940.

 

Il répond à l’appel du Général de Gaulle et rejoint les Forces Françaises Libres à Londres.

 

Après avoir fait campagne au Moyen-Orient au sein d’un régiment de fusiliers marins, Alex LOFI fait partie des 177 français du Commando Kieffer qui, le 6 juin 1944, débarquèrent en Normandie en compagnie des Alliés.

 

Cette épopée, immortalisée par le film « Le jour le plus long », le vit faire preuve d’une bravoure exceptionnelle.

 

Après la Libération, Alex LOFI poursuit sa carrière dans la Marine nationale, jusqu’à sa retraite en 1970 avec le grade de commandant.

 

Il s’est vu attribuer les distinctions suivantes :

  • Compagnon de la Libération
  • Croix de guerre, avec Palmes
  • Officier de la Légion d’honneur
  • Commandeur dans l’Ordre national du Mérite
  • Military Cross.

Au début des années 1960, la Ville de L’Hôpital décide de lui dédier l’ancienne rue du Chemin défendu. Depuis les années 1990, une place du centre-ville sur laquelle est érigée une stèle porte son nom.

 

Alexandre LOFI décède en 1992 et repose à Cuers (Var).

 

Les armoiries de L’Hôpital

Description des armoiries octroyées à la commune par diplôme du 24 juin 1950 :

 

« Écartelé au 1 d’or à la bande de gueules chargée de trois alérions d’argent, au 2 de gueules à l’église d’or, au 3 de gueules à la tour d’extraction d’or, du 4 d’azur semé de croisettes d’argent, au lion du même, couronné d’or, brochant. »

 

  • Le premier quartier représente les armoiries du Duché de Lorraine, rappelant ainsi l’appartenance d’une partie de la commune au duché.
  • Le deuxième quartier reproduit l’église Saint-Nicolas, construite à l’emplacement de l’hôpital autour duquel la ville s’est créée et qui a donné son nom à la commune.
  • Le troisième quartier évoque une tour d’extraction, symbolisant l’essor pris par la commune à la suite de l’installation des mines de charbon.
  • Le quatrième quartier représente les armoiries du comte de Nassau-Sarrebruck, rappelant qu’une autre partie de la commune appartenait à ce dernier.

 

À la découverte de notre patrimoine

Découvrez en images le patrimoine de L'Hôpital

Lieux de culte, monuments & places

Le calvaire

Cliquez sur le nom pour afficher le lieu sur Google maps.

 

LE CALVAIRE

Intersection rue de la Gare / rue des Jardins

 

C’est incontestablement le monument le plus ancien de la commune. Il représente un groupe de trois personnes : Marie, Madeleine et Saint Jean.

 

Déplacé à plusieurs reprises au cours de l’histoire, le calvaire se trouve à l’heure actuelle installé à l’intersection des rues de la Gare et des Jardins.

 

Une inscription sur son socle précise : « Érigé par les habitants de L’Hôpital en 1859 à partir de vestiges et rénové en 1875, l’année du jubilé ». Il y a quelques années, les services de l’actuelle Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) du Grand Est estimaient que certaines parties du calvaire dateraient du XVIIIe siècle.

 

Durant la Première Guerre mondiale (1914-18), la population spittelloise se rassemblait tous les jours devant le monument pour prier à l’intention des soldats au front.

La carrière

Un site d’exception

 

L’Hôpital abrite un patrimoine culturel, industriel et transfrontalier, reflet d’une histoire singulière. Il ne se résume pas seulement aux monuments historiques et aux bâtiments religieux. Il inclut également un riche patrimoine naturel, à l’instar des forêts, dont la forêt du Warndt, qui entourent la ville ou encore de l’ancienne carrière de sable des houillères du bassin de Lorraine, située sur les territoires des communes de L’Hôpital, Freyming-Merlebach et Saint-Avold.

 

Exploitée de 1920 à 2001 pour remblayer les galeries souterraines laissées par l’exploitation des mines de charbon, la carrière était la plus grande de tout le bassin houiller lorrain. Elle se présente de nos jours comme un profond canyon, long de 7,5 km et large de 850 m. Le fond est tapissé de plusieurs plans d’eau, qui attirent notamment les amateurs de pêche.

 

Ouvert au public depuis 2010, deux belvédères, l’un à L’Hôpital et l’autre à Freyming-Merlebach, proposent, à 80 m de hauteur, d’impressionnantes vues panoramiques sur l’ensemble de ce site exceptionnel et de ses environs. Des chemins piétonniers, des pistes cyclables, des panneaux d’information permettent de découvrir la richesse de cet espace rendu à la nature, où l’accès est strictement interdit à tout véhicule à moteur.

 

La crèche

Histoire de la crèche Saint-Nicolas du Centre

 

Tradition à l’occasion des fêtes de fin d’année en l’église Saint-Nicolas du Centre, le Conseil de fabrique de la paroisse, en collaboration avec les services techniques de la commune, procède à la mise en place d’une magnifique et imposante crèche (7 mètres de long sur 3 mètres de large). Chaque année, des modifications et des embellissements y sont apportés.

 

L’église de style néogothique, dédiée à Saint Nicolas de Myre, a été construite de 1761 à 1765 sur le site d’un ancien hôpital et d’un ermitage. Elle est la plus ancienne de la commune.

 

Au cours du XIXe siècle, l’église subira de nombreux travaux et c’est en 1882 qu’a lieu la bénédiction solennelle de la « nouvelle » église. Les vitraux les plus anciens, ceux du chœur et  des deux sacristies, qui datent de 1882, ont échappé aux destructions et bombardements de la Seconde Guerre mondiale. Les autres vitraux datent de 1949. Les ​quatre grandes fresques murales du chœur ont été réalisées en 1951 par Robert Maillard, un artiste lorrain.

 

Par ailleurs, l’église aurait été le théâtre d’un événement relaté dans plusieurs études et ouvrages : le dimanche 7 juillet 1872, en date de la Fête du Précieux Sang, la Vierge Marie apparaît à une petite fille, Marie Françoise Clémentine Girsch, âgée de 11 ans et demeurant à Carling, lors de l’office du soir entre 20h et 21h, sous la chaire de l’église.

Le plan de la ville et l'index des rues

Informations relatives à la bibliothèque municipale

Les inscriptions se font directement à la bibliothèque municipale, 15 rue de Nassau.

 

L’inscription est à renouveler chaque année selon les tarifs suivants :

  • gratuit pour les jeunes jusqu’à 18 ans
  • 3 € pour les personnes sans emploi (sur justificatif)
  • 6 € pour les adultes

Les horaires d’ouverture sont les suivants :

  • lundi et mercredi : de 9h30 à 11h30 et de 14h00 à 16h30
  • mardi et jeudi : de 9h30 à 11h30
  • vendredi : de 9h30 à 11h00

Vous pouvez consulter la collection de livres de la bibliothèque en ligne : consulter le site de la bibliothèque

 

Pour effectuer une réservation en ligne il faut vous inscrire au préalable.

 

Des boites à lire sont également à votre disposition dans la ville :

  • Cour Nassau (espace Albert Mutz)
  • Arrêt de bus Petit Pont
  • Devant la mairie
  • Arrêt de bus place Nassau
  • Aire de jeux à la Cité Colline

Nos installations sportives

Boulodrome

Impasse de Sardaigne

 03 87 90 24 70

COSEC Anton Netzer

Impasse des Sports

Gymnase de La Poste

Rue du Stade

Complexe sportif Jean-Marie De Conti

SALLE D’HALTÉROPHILIE

40 rue Jean-Marie De Conti

DOJO

38 rue Jean-Marie De Conti

GYMNASE PUITS 2 CHARLES KRIER

42-44 rue Jean-Marie De Conti

Piste mini buggy

Impasse des Sports

Stade de football Jules Retzlaff

Impasse des Sports

Tennis club

Rue des Roses

 03 87 82 46 38

Terrains multisports

 

CITY STADES / AIRES DE JEUX

QUARTIER COLLINE

Impasse de Sardaigne

QUARTIER BOIS RICHARD

Foyer Gaston Berndt

Parc Louis Pahler

QUARTIER CENTRE

A côté du parking mairie

Espace Albert Mutz

QUARTIER PETIT PONT

Rue Konrad Adenauer

Vie associative

(Pour effectuer une recherche rapide, tapez un mot clé dans la barre de recherche)

ACTION CATHOLIQUE FÉMININE
Lucie VAROQUI
37 rue de l’Église 57490 L’HÔPITAL
03 87 93 35 90

ADELP (Association de Défense de l'Environnement et de Lutte contre la Pollution)
Jean-Marie BONNETIER
8 rue du Fleuré 57740 LONGEVILLE-LÈS-SAINT-AVOLD
06 72 25 01 43

ALLÔ ACTIF
Jean-Marcel LABACH
25C rue Bois Richard 57490 L’HÔPITAL
03 87 93 20 39

AMICALE DES SAPEURS-POMPIERS
Yannick GORJUP
1 place du Marché 57490 L’HÔPITAL
06 20 95 52 76

ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMES DE GUERRE
Edmond STAWNIAK
15 rue des Jardins 57490 L’HÔPITAL
06 23 27 79 63

ANIM’VOL LIBRE
Adrien HOPPSTADTER
27 rue du Moulin 57490 L’HÔPITAL
03 87 82 64 39

ARTS MARTIAUX - SCAM
Cyrille SKRUBA
23E Rue Georges BIZET 57800 FREYMING-MERLEBACH
06 27 89 30 10

ASSE CITÉ COLLINE (Association Sportive et Socio-Éducative)
Nathalie KOLZ
Groupe scolaire Pierre Philipps 57490 L'HÔPITAL
06 86 83 29 47

ASSOCIATION 3ème ÂGE
Sylvie SCHWEICHER
44 rue Hector Berlioz 57880 HAM-SOUS-VARSBERG
07 70 71 46 94

ASSOCIATION CULTURELLE
Yannick CASADESSUS
7 rue de Diesen 57880 HAM-SOUS-VARSBERG
06 89 36 37 60

ASSOCIATION DES SECOURISTES CROIX BLANCHE DE L'HÔPITAL-CARLING
Jean-Marc KLEIN
8 impasse Gallo Romaine 57800 COCHEREN
06 17 54 22 23

klein.jean-marc@orange.fr

ASSOCIATION DU PERSONNEL COMMUNAL ET ASSIMILÉS DE LA MAIRIE DE L’HÔPITAL
JAGODZINSKI Viviane
Hôtel de Ville 57490 L’HÔPITAL
03 87 29 33 80

ASSOCIATION JUMELAGE
Alfred BLECHSCHMIDT
40 rue de Nassau 57490 L'HÔPITAL

ASSOCIATION PROTECTRICE DES OISEAUX ET DE LA NATURE
Fernand AUST
3 rue Saint-Sauvant 57730 VALMONT
03 87 91 10 33

ASSOCIATION SPORT, DÉTENTE ET LOISIRS
Olivier ORDENER
9C rue d’Arras 57500 SAINT-AVOLD
03 87 90 56 25

ASSOCIATION DES MINEURS
Jean-Luc BARBIAN
7B rue de Limoges 57490 L’HÔPITAL
06 70 08 12 04

AVAL
Michèle BLECHSCHMIDT
41 rue de la Mairie 57490 L’HÔPITAL
06 80 63 72 62

BAD RIVER POKER CLUB
Damien CAPDEVILLE
4 rue Jean-Marie De Conti 57490 L'HÔPITAL

BALAFON
Emmanuel YANGALA
5 rue du Maréchal Foch 57490 L’HÔPITAL
06 40 86 93 82

C.A.T.E 57
André DE MAS
36A rue de Carling 57490 L’HÔPITAL
07 69 10 99 98

CERCLE D’HISTOIRE
Gaston FICK
2 rue Bois Richard 57490 L’HÔPITAL
Permanences lundis 14h-16h site Puits II (bâtiment A, 2ème étage, salle 22)

CHORALE «ORPHÉON HARMONIE»
Gilbert LAGRANGE
49 rue Lyautey 57490 L’HÔPITAL
03 87 93 39 66

CLUB AQUARIOPHILE
Ludovic HERRESTHAL
15 C rue du Caveau 57800 FREYMING-MERLEBACH
06 28 40 35 46

CLUB BONSAÏ
Jean-Michel SIRKO
Rue Jean-Marie De Conti 57490 L'HÔPITAL
07 67 26 90 08

Accueil.

CONCORDIA (théâtre en platt)
Solange QUINTEN
32 rue des Jardins 57490 CARLING
03 87 93 22 19 - 06 16 19 80 32

CONFÉRENCE SAINT-VINCENT-DE-PAUL



CONSEIL DE FABRIQUE BOIS RICHARD
Solange ANIEL
15 rue des Champs 57490 L’HÔPITAL
07 71 25 26 21

CONSEIL DE FABRIQUE DU CENTRE
Jean-Jacques HENRY
5D rue du Stade 57490 L’HÔPITAL

ÉCHIQUIER MOSELLAN
Martial CHUDY
8B impasse des Prés 57880 GUERTING
03 87 82 29 48

ÉCOLE DE MUSIQUE
Chantal JACQUES
2 impasse du Cimetière 57490 L’HÔPITAL
06 75 56 39 23

FÉDÉRATION ANDRÉ MAGINOT
Norbert EPPINGER
4B rue de Pange 57730 MACHEREN

FÉDÉRATION DES MINEURS ET SIDÉRURGISTES DE FRANCE/SARRE/LUXEMBOURG
Patrick NEU
33 rue Châtelaillon 57515 ALSTING
03 87 99 10 98

FEVAL
Raymond KNIPPER
7 rue de Remsing 57600 FORBACH
03 87 85 99 50

FORCE ATHLÉTIQUE ET FORME DE L’HÔPITAL
Fabrice KOLZ
8 rue des Mines 57490 L’HÔPITAL
06 17 60 69 38

GECNAL
Salle socio-culturelle
1/3 rue de la Ligne 9 57150 CREUTZWALD

Get'up
Fabienne SCHMITT
1 rue de la Charente 57430 SARRALBE
06 06 91 53 63

fa.fitndance@gmail.com

HANDBALL CLUB
William WEBER
10 rue du Poirier 57490 L’HÔPITAL
06 43 04 34 94

HARMONIE MUNICIPALE SAINT-LOUIS
André MULLER
5 rue de l'Église 57660 DIFFEMBACH-LES-HELLIMER
07 88 84 10 29

JOJO'S FRIENDS
Djemila GEYER
17 rue de Carling 57490 L’HÔPITAL
06 25 46 41 26

L'EURO ROYAL
Restaurant "LE ROYAL"
26 rue de Saint-Avold 57490 L’HÔPITAL
03 87 93 41 90

LA BOULE SPITELLOISE (club de pétanque)
GAZZOLA Franck
8 Impasse de l'Ancre 57490 L'HÔPITAL
06 23 25 82 05

LE FUTSAL
DAVID Aïcha
16 Rue de la Forêt 57150 CREUTZWALD
06 17 69 00 68

LE ROSSIGNOL (élevage d'oiseaux exotiques)
Bernard SACKSTEDER
70 rue des Alliés 57740 LONGEVILLE-LÈS-SAINT-AVOLD
03 87 90 72 32

LE TREMOLO (Union Mandoliniste)
Gilles AMBLARD
5 impasse des Roses 57730 FOLSCHVILLER
03 87 91 03 45

LES AMOUREUX DE LA MARCHE DE L’HÔPITAL-CARLING
Gilbert JACOB
10A rue de Saint-Avold 57490 CARLING
03 87 93 70 39

MÉLI-MÉLO (hip-hop et danse moderne)
Mélissa LUSSAC
41 Rue des Tuileries 57510 PUTTELANGE AUX LACS
06 36 18 96 30

MINI BUGGY CLUB DU BASSIN HOUILLER
Cédric CARDONE
26B Rue du Gros Hêtre 57500 SAINT-AVOLD

MUR DU SON
Jean-Jacques HOFF
1 rue Alcide de Gaspéri 57490 L’HÔPITAL
03 87 93 77 26

NAK MUAY FACTORY
Jackson ISSA
58 rue du Stade 57490 L’HÔPITAL

RAQUETTES CLUB
Michel MALGLAIVE
8 rue de Saint-Avold 57490 L’HÔPITAL
03 87 82 68 40

RESTOS DU CŒUR (antenne de L'Hôpital)
Eddi BUSOLINI
Rue Jean-Marie De Conti 57490 L'HÔPITAL
06 82 10 77 07

RYTHM AND GYM
Ambre DEGRANGE
15 rue de la Chapelle 57730 LACHAMBRE
06 07 99 47 99

SAINT PAULIA
Vesna MARVIER
17 rue Weygand 57490 L’HÔPITAL

SCL (Sporting Club de L'Hôpital) - Football
Cynthia BENNARDO
Club house - 1 impasse des Sports 57490 L'HÔPITAL
06 75 86 88 19

SPORT ÉVASION - BADMINTON LOISIRS ADULTES
Martine PACINI
1A rue du Warndt 57490 CARLING
03 87 82 18 29

TEAM REDZONE 57
Claude DICKS
27D rue du Sel 57490 L’HÔPITAL
06 57 17 69 29

TENNIS DE TABLE
Nicolas BACKENSTRASS
16 rue du Capitaine Lofi 57490 L’HÔPITAL
06 85 16 89 20

UNION CYCLISTE DU BASSIN HOUILLER
Line BETTINGER
10 rue des Jonquilles 57880 HAM-SOUS-VARSBERG
06 71 82 41 44

ucbh.saint.avold@gmail.com

UNION DES COMMERÇANTS, ARTISANS ET PROFESSIONS LIBÉRALES
Yamina BELLAOUARI
42 rue de Saint-Avold 57490 L’HÔPITAL
07 81 53 89 66